Utilitaire urbain : le Cityvep, 100% électrique, prêt à sillonner nos rues !

Nous y sommes, après 1 an d’études et de préparation, le 1er Cityvep vient de sortir de nos ateliers !

Le Cityvep est le véhicule polyvalent par excellence. Grâce à ses dimensions réduites, il peut circuler dans des ruelles étroites et stationner facilement sans gêner la circulation. Vous pourrez le croiser au Musée du Louvres, où il s’intègre parfaitement et s’avère très pratique.

Développé en partenariat avec FIOR Concept, le Cityvep répond aux besoins d’aujourd’hui et de demain. Ce modèle est l’outil idéal des collectivités et des prestataires de service grâce à sa robustesse (charge sur plateau de  1 tonne), sa fiabilité (jusqu’à 40 à 60 km d’autonomie), et sa vitesse de 25km/h. Silencieux et pratique, il est un véritable outil de travail modulable qui s’adapte et accompagne les agents d’entretien.

Utilitaire propre (0 g/km d’émissions de CO2) et économe, le Cityvep est la solution aux micro déplacements et aux arrêts fréquents sur de courtes distances. Perçue comme un investissement responsable par les habitants, il répond aux besoins de tous et se faufile dans les ruelles des centres historiques, des lieux publics et des parcs.

Son prix accessible et son design urbain finiront de vous séduire !

Pour plus de renseignement : www.innovep.fr

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Idée durable n°15 : j’investis dans des piles rechargeables !

Aujourd’hui, difficile de se passer de piles : elles fournissent l’énergie des jouets, appareils photos, télécommandes, réveil, mp3, souris sans fil…  Nous utilisons en moyenne 28 piles par an.

Principe : On remplace les piles classiques par des piles rechargeables dans nos appareils du quotidien. On les recharge dès qu’elles ne fonctionnent plus, et c’est repartit pour un tour !

Avantages :

–      Environnemental : on ne jette pas nos piles toutes les 2 semaines, on ne les laisse pas non plus trainer dans nos tiroirs

–      Prix : 4 piles alcaline classiques coutent environ 5€ alors qu’un chargeur + 4 Accus rechargeables coute 40€. Admettons que l’on recharge nos pile 500 fois (on est pessimistes), on aura économisé : 2460€ !

Faits :

Il faut 50 fois plus d’énergie pour fabriquer une pile alcaline que ce qu’elle fournira au cours de son utilisation

–       Elles se rentabilisent après 5 utilisations

–       Une pile rechargeable peut se recharger près de 1000 fois

–       30 fois moins d’impact sur la pollution de l’air

–       Seules 1/3 des piles classiques ont été collectées en 2006

Idée à garder : On dépose nos vieilles piles chez un commerçant afin qu’elles puissent être recyclées et on investit dans un lot de piles rechargeables et leur chargeur (nickel-hydrure). On garde aussi à l’esprit que la meilleure énergie est celle qu’on ne consomme pas !

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Idée durable n° 14 : je recycle mon portable et lui donne une nouvelle vie !

recyclage-telephone

 

Nous l’avons presque tous, certains en donnent même à leurs enfants, le portable s’est incrusté dans nos vies et nous ne saurions plus nous en passer ! Dans la vie professionnelle comme personnelle, il est l’outil de communication par excellence. Difficile d’ailleurs de suivre la vitesse à laquelle ils évoluent, c’est pourquoi un portable a une durée d’utilisation d’environ 18 mois avant qu’un nouveau ne vienne le déloger !

Principe : On donne ou on vend son mobile à des organismes spécialisés qu’il soit en bon état ou non, il sera ensuite remis en état et réutiliser ou recyclé convenablement.

Avantages : On n’encombre pas ses tiroirs avec ses vieux téléphones et on fait des heureux, tout en protégeant la planète ! De plus, certaines ces sociétés sont prêtes à vous racheter votre téléphone ! Enfin, étant donné la présence de matières dangereuses dans les mobiles, on préfère s’en éloigner plutôt que de les laisser traîner chez nous.

Faits :

–          En 2007, 1,2 milliards de mobile vendus dont 20 millions en France ;

–          Un mobile est constitué en moyenne de 0,5% de matière dangereuses pour la santé : cadium, plomb, mercure…

–          3 batteries de mobile suffisent à polluer une piscine olympique

–          Sur 20 millions de mobiles jetés chaque années, seul 8% sont recyclés

–          A voir : http://www.love2recycle.fr/index.php

 

Idée à garder : on se prend par la main et on s’occupe de nos vieux mobiles qui trainent dans nos tiroirs.

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Idée durable n°13 : faire son marché, un acte durable !

légumes du marché

 

Cet été, les vacances et le beau temps ont favorisé l’apparition des marchés de pays dans nos villes. Petites ou grandes, de jour ou de nuit, ces marchés sont ce sont multipliés pour le plus grand plaisir des habitants. Cette initiative a pour but de recréer le dialogue entre producteur et consommateur et d’inciter les habitants à consommer des produits issus de leur région.

 

Principe : on se décide à se lever de bonne heure pour aller faire un tour au marché. Là, on redécouvre le plaisir des fruits et légumes frais, de saison et on se réapproprie notre nourriture. On échange des idées de recette, on goûte tel ou tel fromage de petit producteur, puis on rentre chez soi déguster nos trouvailles !

 

Avantages : On participe au développement de sa région, on limite l’impact écologique des produits qui n’ont pas d’emballages et n’ont pas parcourus des milliers de kilomètres. On retrouve aussi des fruits mûrs et des tomates qui ont du goût, on se réapproprie les recettes de sa région et on fait de jolies rencontres. On encourage la vente sans intermédiaire et on trouve une alternative aux grandes surfaces pour les produits frais.

 

Chiffres :

–         le marché des produits bio représente 1.7% des dépenses alimentaires des ménages français ;

–         les fruits et légumes représentent 17% du marché des produits bio ;

Idée à garder : on favorise la mise en place de ce type de marché dans nos villes, ils peuvent être un complément de revenu pour certain, et permettent de consommer en respectant la nature et le producteur !

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Idée durable n°12 : un toit végétal dans la ville !

toit végétal

toit végétal

L’Allemagne, véritable exemple en matière de toits végétaux ! Vous en trouverez à Berlin, Stuttgart et Hambourg, les villes verdissent pour le plus grand plaisir de tous ! Ce sont près de 10% des toits allemands qui ont été végétalisés en 10 ans ! A la fois écologique et esthétique, ce système apporte une multitude d’avantages.

 

Principe : On recouvre les toits à faible pente d’un substrat végétalisé. Organisé en plusieurs couches, ce tapis végétal se développe ensuite seul.

 

 

Avantages : Ils sont nombreux et sur divers points ! Le premier étant un assainissement de l’air (moins de CO², captation des pollens et des particules atmosphériques), et une épuration des eaux de pluie. Cela permet aussi de réguler le débit des hauts de pluies qui sont captées par les toits (jusqu’à 75%). Cela permet aussi de mieux isoler le toits de la maison et de modérer les changements de température. Enfin, outre ces aspects techniques, les toits végétaux amènent la nature à la ville et sont un élément apaisant pour les habitants qui y trouvent ainsi un plaisir esthétique et une source de sérénité.

 

 

Chiffres :

 

  • En été, la température d’un toit terrasse peut avoisiner les 65°C. La présence de toitures vertes même sur moins de 10% des toits des villes ferait descendre la température d’environ 1,5°C.

 

  • Elle améliore l’isolation acoustique : un substrat de 12 cm d’épaisseur peut réduire les bruits aériens de près de 40db.
  • Isolation thermique par un effet de climatisation naturelle (par forte chaleur, jusqu’à 4° en moins à l’intérieur de l’habitat).

 

  • Pour les prix : compter entre 50 et 120€ par m² sans membrane ni isolant. Néanmoins, des subventions sont parfois disponibles, et bien que compliquée, la technique peut être réalisée par soi-même.

Source : Consoglobe

Idée à garder : On met du vert dans nos vies en accueillant un espace vert sur notre toit ! Voilà une technique qui n’a que des avantages pour la nature et pour les habitants, de quoi réconcilier l’homme et la nature ! On encourage les villes à passer aux toits végétaux, et à aider les habitants et les investisseurs à en faire de même !

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Idée durable n°11 : dématérialisation des courriers dans les mairies !

dématérialiser le courrier

 

Il est désormais possible de faire une demande d’extrait de naissance, ou de papier officiel via le site web des mairies ! Une initiative qui montre que les mairies ont tout intérêt à développer leur utilisation du web, car c’est un double bénéfice qui attend les habitants : économie d’un courrier et gain de temps ! 

Principe : les mairies dématérialise les demandes de documents, mais parfois aussi les appels d’offre, les lettres d’information, etc… Autant de papier économisé ! Internet ne remplacera jamais complètement les demandes papiers, mais peut largement réduire la consommation de papier liés aux procédures administratives !

 Avantage : les pages de contacts sont si bien construite qu’il n’y a plus de risque d’oublier d’information lors de la demande, et que l’on est sûr de recevoir son document. On a ainsi économisé un timbre, une enveloppe, une feuille et 10 bonnes minutes ! Ce concept se retrouve aussi dans l’archivage numérique des documents qui a le mérite de représenter une double sécurité en cas d’incendie ou de vol.

 Chiffres :

–         1 timbre pour une lettre jusqu’à 20g = 0.56 €

–         un foyer français reçoit en moyenne 23,6 courriers par semaine, dont 4 sont administratifs

Idée à retenir : pour économiser le papier et des impressions inutiles, on passe par internet lorsque c’est possible !

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Idée durable n° 10 : c’est décidé, je trie mes déchets !

recyclable !

recyclable !

 

Quelle surprise hier en regardant mon courrier, la ville de Rodez s’implique pour de bon dans le trie des déchets. J’ai donc reçu un cabas avec un rappel des déchets recyclables afin de faciliter le trie dans mon appartement et de ne plus avoir d’excuse en descendant mes poubelles ! Exit le vieux carton qui me servait de bac à côté de ma poubelle classique, me voilà avec un sac et son mémo ! Une initiative dont le message est fort et qui montre que la ville est active et aide ses habitants !

Principe : On s’y met et on trie nos déchets pour jeter chaque chose dans le containeur qui lui correspond ! Le fait de les trier va aussi nous aider à réaliser combien on peut jeter chaque semaine, et nous amener à faire plus attention dans ce qu’on achète ! Les déchets recyclés seront ensuite réutilisés pour trouver une nouvelle vie, le mythe de la bouteille en plastique réincarnée en pull prend ainsi vie !

Avantages : On donne 3 minutes par jour de son temps, cela ne coute rien, et on agit sensiblement pour l’environnement. En 2008, les français ont recyclé près de 63% des déchets, et on peut encore mieux faire !

 

Faits :

–          le verre est recyclable à l’infini – à tous les amateurs de vin, de jus de fruits et de confitures !

–          10 bouteilles en plastique = 1 veste de ski !

–          8 boites de conserve = 1 casserole !

–          6 bouteilles en plastiques = 1 tee-shirt !

 

Idée à garder : On implique les habitants en les aidant au lieu de les contraindre à trier ! On facilite le trie avec des bennes adaptées et accessibles facilement, on distribue des corbeilles, on rappelle les consignes et surtout on pense à indiquer si le trie a été efficace ou non. Pouvoir se faire une idée des fruits de son travail est la meilleure des récompenses !

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Idée durable n°9 : on réduit notre consommation publique d’électricité !

carte de la pollution lumineuse en France

carte de la pollution lumineuse en France

On encourage les villes à se poser les bonnes questions et à agir comme la ville  d’Oslo ! Concilier technologie et développement durable, un pari relevé par la ville qui a réduit la consommation d’énergie associée à l’éclairage public de 62 %.  Et qui a, par le même temps, réussie à réduire la pollution lumineuse autour de la ville.

Principe :

Les villages ont déjà mis en place des politiques d’extinction des lampadaires après 21h, mais ce système était difficile à concevoir dans les grandes villes. Ici, la ville d’Oslo a remplacé les ballasts magnétiques des 55 000 lampadaires par des ballasts électroniques créant ainsi un système permettant de contrôle à distance des lampes. En adaptant la puissance d’éclairage des lampadaires à la circulation, la météo et l’éclairage naturel, la ville peut ainsi diminuer l’intensité lumineuse et s’adapter aux besoins des habitants. Les bâtiments publics ont aussi été plongés dans le noir, et seules les rues restent éclairées pour des raisons notamment de sécurité.

Avantages :

On ne perturbe plus la faune et la flore autour de nos villes (et notamment les insectes en voie d’extinction), et on retrouve un sommeil réparateur plongé dans un noir naturel. Les étoiles retrouvent leur place dans le ciel et on redécouvre le plaisir d’enseigner les constellations à nos enfants ! Néanmoins, on conserve suffisamment de lumière lorsque nécessaire pour conduire prudemment et ne pas encourager l’insécurité !

Chiffres :

–       Eclairage de nuit = 1% de la consommation électrique en France

–       Selon l’ADEME, l’éclairage public représente en France 4% des émissions de gaz à effet de serre !

–       90% des étoiles ne sont pas visibles à cause de la pollution lumineuse

Idée à garder : on module l’intensité lumineuse de nos rues et on limite l’éclairage inutile de certains bâtiments ! Il ne s’agit pas de tomber dans les extrêmes et de tout plonger dans le noir, mais d’utiliser la technologie à bon escient et d’adapter l’éclairage au besoin !

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Idée durable n° 8 : on se remet au vélo !

les vélos toulousains

les vélos toulousains

On suit les villes qui mettent en libre service des vélos et qui aménagent nos villes avec des pistes cyclables ! Exemple à Toulouse avec le VélôToulouse qui a dépassé en début d’année le million de location, preuve d’un système adopté par des toulousains qui adorent se balader dans les rues de la ville rose ! De nombreuses villes l’ont adopté (Paris, Lyon, La Rochelle…), essayez vous serez à coups sûr convaincu !

Principe : on va travailler ou on fait ses petits trajets en vélo grâce à des stations éparpillées dans toute la ville et de plus en plus de pistes aménagées et protégées ! On prend un vélo dans une station libre service et on le dépose dans une autre, simple et rapide !

Avantages : l’énergie utilisée est l’huile de coude, non polluante, et on entretien son cœur tout en s’accordant un moment de plaisir ! Bon plan idéal pour les étudiants qui n’habitent pas loin de leur école et veulent s’économiser les tracas et le coût d’une place de parking en ville !

Chiffres :

–          les 30 premières minutes sont gratuites : or l’essentiel des trajets est inférieur à 30 minutes (18 minutes en moyenne), donc un bon plan pour notre porte monnaie !

–          235 km de pistes cyclables et 1400 vélos à Toulouse de quoi profiter de la ville !

Attention : on oublie pas son casque ! Faire du vélo peut être dangereux, alors on respecte le code de la route et on se force à porter son casque (qui peut nous sauver la vie !)

Idée à garder : on limite ses trajets en voiture au nécessaire et on y préfère les modes de déplacements doux tels que le vélo 🙂

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Idée durable n°7 : On redécouvre le potager de nos grands-parents !

Les potagers éclosent partout !

Les potagers éclosent partout !

 

On s’enthousiasme devant les jardins collectifs de l’association Jardinature à Poitier. Ce grand jardin permet aux adhérents de récolter des légumes bios tout au long de l’année mais aussi et surtout de prendre part à l’entretien du jardin.

Principe : On réintroduit les jardins potagers à l’intérieur ou autour des villes (on en trouve même sur les toits !), on redécouvre le plaisir de travailler la terre et de produire ses propres fruits et légumes sans pesticides !

Avantages : Cela permet de sensibiliser les habitants à une consommation plus saine, et de renouer avec des souvenirs d’enfance. Cela peut aussi se révéler très économique car l’investissement se fait surtout en temps et si la récolte est bonne, elle peut permettre un approvisionnement tout au long de l’année. Enfin, ces jardins sont souvent très valorisants et favorisent les échanges entre voisins !

Chiffres :

–          un potager bien entretenu permet d’économiser jusqu’à 400 euros par an sur sa facture de fruits et légumes 

–          le temps moyen passé à entretenir son potager est d’environ 5h/semaine

A voir : le site de l’association : http://jardinature.poitiers.free.fr/asso.htm

Idée à garder : on aménage les zones délaissées par la ville, les balcons, les toits des immeubles et on retrouve le plaisir de jardiner et de composer soi-même son menu de fruits et légumes !

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